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LE JOUR OU TOUT AVAIT BASCULE
4 avril 2007

LA PETITE VOISINE DE SAÏGON.

J’avais environ douze ans et j’étais excessivement pudique.

Lorsque je prenais ma douche, personne n’avait le droit de s’approcher de la porte de la salle de bain.Il n’y avait pas de verrou et cela me navrait.

Il arrivait que Maman entrait pour emporter de l’eau vers les cuisines. Il n’y avait pas de robinet à la cuisine installée sur la véranda et la cuisinière, la bep, n’avait pas le droit d’entrer. Maman venait donc pour l’eau. En sortant, elle ne pouvait pas refermer la porte. A l’instant où j’allais vers la porte pour la refermer, alors que la maman sortait, je voyais, debout devant la porte et qui me regardait, la petite voisine.

J’en avais fait un scandale.

Je n’osais plus, pendant quelques jours, croiser le regard moqueur de la petite fille.

 

Le temps passait et je recommençais à parler et à jouer avec elle. C’était une petite fille avec une peau bien blanche et des joues bien rose  comme toutes les petites filles de onze ans. Ce qui la différenciait des autres petites filles, c’était que sa mère recevait des hommes et qu’elle n’en faisait pas un secret. Maman m’avait interdit de parler « à ces gens » pendant les premiers temps ede notre installation à cette adresse.

 

Souvent, on lisaient des livres d’images, assis par terre. Nous étions toujours chez Tante Marie par ce que c’était là que j’avais tous mes jouets et puis, Tante rentrait tard de son travail. Tante était enseignante dans une école catholique.

 

Petit garçon, j’étais toujours en caleçon. Un jour, alors qu’on était plongé dans la lecture des dessins d’un petit illustré de poche, je remarquais que le bout de mon zizi se voyait depuis un bon moment et que je ne m’en étais pas aperçu. La petite Yep Vii, c’était son petit nom, semblait n’avoir rien remarqué. Je ne pouvais pas bouger sans me faire remarquer. Inexorablement, je le voyais grandir, s’allonger jusqu'à toucher la main de la petite fille.  Je n’osais rien faire, mes yeux étaient resté rivé sur cette chose qui semblait être étrangère à ma personne et réagissait de façon autonome. Une sorte de liquide s’en écoulait lentement et se répandait sur le carrelage. Je regardais cela comme médusé. Je n’avais jamais réalisé que cette chose pouvait libérer du liquide comme çà. Il y avait quelque chose de si agréable qui montait en moi et j’attendais sans savoir où cela allait me mener.

C’était alors que la voix de sa mère l’appelait. Elle se levait et partait en courant. Sur le carrelage, Je pouvais voir la trace que le bord de la main de la fille laissait dans le liquide glissant.

J’essuyais les traces avant d’aller me réfugier dans mon domaine. Je venais à peine de m’installer dans le hamac que la petite était de retour. Elle sautait dans le hamac et se retrouvait pratiquement sur moi. Sans commentaire, elle se replongeait dans son livre.

Pour le coup, mon boa était complètement dehors. Il était impossible de ne pas le voir. Comme mue par un réflexe, je me collais contre la petite, mon gland rouge comme une énorme cerise, brillait sur le bord de la page qu’elle était en train de lire. Du liquide s’en écoulait avant qu’un jet en partait pour aller s’étaler sur le mur. Elle rigolait et moi aussi. On n’avait pas dit un mot. On était resté comme çà très longtemps, sans bouger.

Après son départ, j’avais un mal fou à ramollir la bête.

 

Cela faisait parti de ces moments intenses que j’aime encore à me remémorer.

La petite fille n’avait jamais touché mon sexe. C’était toujours moi qui le frottais contre sa peau, prenant un malin plaisir à laisser couler le liquide sur ses pieds, sur sa main. Pendant la dernière année avant mon départ, je commençais à l’asseoir sur mon sexe. Elle se laissait faire sans rien dire avec un réel plaisir, ce n’était pas possible qu’elle n’eut pas de plaisir.

 

 J’adorais regarder son coquillage se gonfler comme si elle allait s’ouvrir. Je me tortillais de telle façon que le liquide qui s’écoulait, formaient des gouttes qui descendaient en étirant un fil vers la fente du coquillage.

Je ne sortais plus en ville avec les parents. Je préférais rester à la maison par ce que Yep Vii était toujours chez elle.

Je trouvais que les jupes qu’elle portait avait été inventé pour ces moments là. d’ailleurs, elle était toujours en jupe lorsqu’elle venait.

 

Une fois, alors quelle était sur le dos pour regarder les margouillats au plafond, je me couchais pour regarder son coquillage un peu plus prés. Il s’en dégageait comme un parfum de pomme verte. Sentant mon souffle, elle écartait complètement ses cuisses. Comme attiré par ce que je voyais, j’y plongeais ma langue et je lui faisais des bisous en y introduisant ma bouche le plus loin possible. Elle se tordait pendant que je léchais et bizoutais son petit sexe. Je voulais savoir ce qui se passerait, comme pour moi, il devait bien en sortir quelque chose. J’avais jouis deux ou trois fois sans que rien ne se passait pour ma petite amourette. Lorsque j’allais jouir une nouvelle fois, Je voyais fuser un liquide que je buvais littéralement. Je l’avais fait pisser et j’avais léché jusqu’à la dernière goutte.

C’était la seule expérience du genre. Par la suite, c’était moi seul qui prenais du plaisir.

 

Des années plus tard, en France, il y eurent quelques rares filles,  mais c’étaient moins bien, sauf une fois et une seule fois.

 

Il n’y avait pas du tout de sexe, pourtant, c’était quelque chose de merveilleux et de fort.

Cette fille du vent, fille de la mer par ce que je l’avais rencontré dans un centre naturiste. Cette fille était ma Muse.

 

 

 

 

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Commentaires
LE JOUR OU TOUT AVAIT BASCULE
  • EXODE VERS LA FRANCE. Lorsque j’aurai l’esprit moins préoccupé, je reprendrai ceci pour faire naître d’autres émotions. Je ne me suis jamais lamenté, pour la simple raison que je ne me compare pas. 2013 marque le début et la fin de 1000 et 1 choses.
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